Dans le cadre de la passerelle Langue Culture, les apprenants de 3 groupes d'adultes ont assisté à la projection du film LA FILLE DE BREST le 23 février dernier à l'Espace Beckett.
Suite à cette projection, les apprenants du groupe ADU B1.2, animé par M. Vernier, vous proposent leurs critiques du film !
________________________________________________________________
________________________________________________________________
Le jeudi soir 23 février, nous avons regardé un film
français intitulé « la fille de Brest ». Ce dernier se déroule dans
une ville qui se trouve au nord de la France. Les évènements de ce film sont
autour des conflits d’une femme médecin qui s’appelle Irène Frachon et le
combat pour montrer le danger de l’utilisation d’un médicament, le
« Médiator 150 mg » et ce film est réalisé par Emmanuelle Bercot.
Le film a commencé par une opération cardiaque à cause de ce
médicament qui attaque le cœur, la salle a été remuée pendant cet extrait.
Nous avons senti que le médecin Irène Frachon est une femme
solide, dure et courageuse car elle a décidé de combattre les laboratoires qui
produisent le médicament.
Soudain, nous sommes choqués que ce médecin se batte toute
seule face à la neutralité des ses collègues.
Parmi les qualités qui nous ont attiré chez cette femme, il
y a sa conscience professionnelle, son humanité et son humour… malgré la
tristesse qu’elle a vécu avec son entourage.
Grâce à ses efforts, le danger de ce médicament est devenu
l’opinion publique.
Finalement, nous avons trouvé que ce film est très touchant
et parfois drôle, l’actrice était très enthousiaste et pleine d’ardeur qui l’a
poussé à agir toute seule, ses collègues l’abandonnant, elle a pu agir pour
diminuer les dangers et la mort de certaines personnes que provoque ce
médicament.
Adnan LACHIRI HADACH, Fadilou BOUSSO ELHADJI, Mohamed
ELBAKKALI, Badr KJAIRI
________________________________________________________________
« La fille de Brest » est un film tiré de la réalité,
ce qui fait froid dans le dos, qui nous questionne sur nous-même. Aurions-nous
le courage, comme Irène Frachon d’être un lanceur d’alerte malgré toutes les
pressions qui peuvent s’exercer sur nous ?
En effet Irène Frachon, personnage principal de « la
fille de Brest » a une personnalité éclectique puisqu’on la voit dans le
film parfois sympathique, têtue, nerveuse, déterminée, mais à d’autres moments
elle nous se montre minutieuse, ambitieuse, humanitaire, organisée, ainsi
qu’une énorme capacité à trouver un équilibre entre son travail et sa famille,
mais elle a un accent pas clair, ce qui a provoqué des problèmes de
compréhension du film.
Pendant les scènes choquantes, au moment des opérations
chirurgicales, la majorité des spectateurs n’ont pas pu les regarder. La scène la plus importante pour nous
concerne « Corinne », car cela nous ramène à l’essentiel pour
nous, l’être humain…
On peut dire ce qu’on veut, mais rien de vaut plus que la
vie d’un homme ou d’une femme, qui ne fait de mal à personne. Vraiment c’est une scène forte, quand Irène a pris le cœur
de Corinne entre ses mains. Les individus désignés comme les
grands méchants de l’histoire sont bien les représentants, qui défendent leur
médicament « Médiator » pendant tout le film.
En une seule phrase, le film était intéressant malgré le
niveau de langue (débit rapide), mais de toute façon c’était bien.
Abdennassar
IZAAGAGUE, Fatima zahra TAGAYOUT, Abdel karim RAMDANI
_________________________________________________________________________________
C’est une histoire réelle d’une pneumologue qui travaille
dans un hôpital de Brest, et qui à un combat contre un fabricant de médicament
pour les diabétiques, le « Médiator ».
Ce médicament a des effets négatifs, il attaque directement
le cœur.
Ce film contient des scènes choquantes, les opérations
chirurgicales.
Nous aimons la personnalité de cette femme, elle est
sérieuse au travail, elle a le souffle au combat, et aussi très sympa avec sa
famille.
Le film donne un exemple magnifique, celui du conjoint de la
femme, c’est une personne calme, il aide beaucoup sa femme aux moments
critiques.
Nous aimons bien la dernière partie qui montre le résultat
différent de deux personnages. Celui d’Irène qui est
forte, courageuse et celui du chercheur qui l’a soutenu malgré sa peur et son
stress, même après il a baissé les bras.
Mais à la fin du film, la chose qui nous énerve est qu’après
un grand combat, personne n’a été condamné.
Nabila ZEGGAF, Ahmed AJHNEJH, Adil TAMIM
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vos commentaires sont attendus !