lundi 13 mars 2017

Cinéma : LA FILLE DE BREST

Dans le cadre de la passerelle Langue Culture, les apprenants de 3 groupes d'adultes ont assisté à la projection du film LA FILLE DE BREST le 23 février dernier à l'Espace Beckett. 
Suite à cette projection, les apprenants du groupe ADU B1.2, animé par M. Vernier, vous proposent leurs critiques du film !
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Le jeudi soir 23 février, nous avons regardé un film français intitulé « la fille de Brest ». Ce dernier se déroule dans une ville qui se trouve au nord de la France. Les évènements de ce film sont autour des conflits d’une femme médecin qui s’appelle Irène Frachon et le combat pour montrer le danger de l’utilisation d’un médicament, le « Médiator 150 mg » et ce film est réalisé par Emmanuelle Bercot.
Le film a commencé par une opération cardiaque à cause de ce médicament qui attaque le cœur, la salle a été remuée pendant cet extrait.
Nous avons senti que le médecin Irène Frachon est une femme solide, dure et courageuse car elle a décidé de combattre les laboratoires qui produisent le médicament.
Soudain, nous sommes choqués que ce médecin se batte toute seule face à la neutralité des ses collègues.
Parmi les qualités qui nous ont attiré chez cette femme, il y a sa conscience professionnelle, son humanité et son humour… malgré la tristesse qu’elle a vécu avec son entourage.
Grâce à ses efforts, le danger de ce médicament est devenu l’opinion publique.
Finalement, nous avons trouvé que ce film est très touchant et parfois drôle, l’actrice était très enthousiaste et pleine d’ardeur qui l’a poussé à agir toute seule, ses collègues l’abandonnant, elle a pu agir pour diminuer les dangers et la mort de certaines personnes que provoque ce médicament.

Adnan LACHIRI HADACH, Fadilou BOUSSO ELHADJI, Mohamed ELBAKKALI, Badr KJAIRI
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« La fille de Brest » est un film tiré de la réalité, ce qui fait froid dans le dos, qui nous questionne sur nous-même. Aurions-nous le courage, comme Irène Frachon d’être un lanceur d’alerte malgré toutes les pressions qui peuvent s’exercer sur nous ?
En effet Irène Frachon, personnage principal de « la fille de Brest » a une personnalité éclectique puisqu’on la voit dans le film parfois sympathique, têtue, nerveuse, déterminée, mais à d’autres moments elle nous se montre minutieuse, ambitieuse, humanitaire, organisée, ainsi qu’une énorme capacité à trouver un équilibre entre son travail et sa famille, mais elle a un accent pas clair, ce qui a provoqué des problèmes de compréhension du film.
Pendant les scènes choquantes, au moment des opérations chirurgicales, la majorité des spectateurs n’ont pas pu les regarder. La scène la plus importante pour nous concerne « Corinne », car cela nous ramène à l’essentiel pour nous, l’être humain…
On peut dire ce qu’on veut, mais rien de vaut plus que la vie d’un homme ou d’une femme, qui ne fait de mal à personne. Vraiment c’est une scène forte, quand Irène a pris le cœur de Corinne entre ses mains. Les individus désignés comme les grands méchants de l’histoire sont bien les représentants, qui défendent leur médicament « Médiator » pendant tout le film.

En une seule phrase, le film était intéressant malgré le niveau de langue (débit rapide), mais de toute façon c’était bien.

Abdennassar IZAAGAGUE, Fatima zahra TAGAYOUT, Abdel karim RAMDANI
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C’est une histoire réelle d’une pneumologue qui travaille dans un hôpital de Brest, et qui à un combat contre un fabricant de médicament pour les diabétiques, le « Médiator ».
Ce médicament a des effets négatifs, il attaque directement le cœur.
Ce film contient des scènes choquantes, les opérations chirurgicales.
Nous aimons la personnalité de cette femme, elle est sérieuse au travail, elle a le souffle au combat, et aussi très sympa avec sa famille.
Le film donne un exemple magnifique, celui du conjoint de la femme, c’est une personne calme, il aide beaucoup sa femme aux moments critiques.
Nous aimons bien la dernière partie qui montre le résultat différent de deux personnages. Celui d’Irène qui est forte, courageuse et celui du chercheur qui l’a soutenu malgré sa peur et son stress, même après il a baissé les bras.
Mais à la fin du film, la chose qui nous énerve est qu’après un grand combat, personne n’a été condamné.
Nabila ZEGGAF, Ahmed AJHNEJH, Adil TAMIM

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